Cher père Thomas, Cher Stéphane, ma Lolo
Pour moi, Hélène, que je n’ai jamais appelée ainsi, était une mère, la mère de ma copine d’enfance, une mère comme il y en a peu. Dynamique, imprévisible et tellement gaie... Chez vous à Bardouville, au Torquesne, à Rouen dans les chambres d’étudiante de Laurence, et même dans les innombrables camping des Landes, comme on a ri, ensemble, de ses pitreries. Puis vous en avez fait une grand-mère, tout aussi aimante. Aujourd’hui, je pense à vous, je pense à elle, une belle personne.
Avec toute mon affection,
Corinne